mardi 8 mars 2011

TP7- Voici un petit tableau de synthèse suite à la lecture du document sur la variation topolectale en terminologie.

Grands points
Synthèse


I.              « La prise en compte de la variation topolectale »
1.    La variation géographique est un facteur principal dans les travaux terminologiques unilingues français ou multilingues. Entre autre, l'ISO et le Réseau panlatin de terminologie  appuient cette idée, en vue de répondre plus adéquatement aux besoins terminologiques. Cette approche variationniste doit concevoir les outils nécessaires qui répondront aux besoins d'intercommunication du plus grand nombre de francophones.
Certains auteurs, à l'époque, qui écrivaient des dictionnaires proposaient une version uniforme de la langue, ils ne prenaient pas en compte les particularités du français. Le français typiquement québécois a longtemps été considéré comme une variété régionale du français. Ceux-ci affirmaient s’approcher le plus possible du français  "international", qui correspond au français de Paris.
  
3.    La valorisation de la diversité linguistique se fait de plus en plus sentir au sein des ouvrages linguistiques. On mentionne qu'il est cependant difficile de cerner correctement la variation géographique.La catégorie usage géographique est importante afin d’indiquer les différences d’emploi des divers termes. L’ISO suggère également que les termes soient identifiés à l’aide de symboles de pays. En bref, le marquage topolectal doit être souple afin que les termes puissent être utilisés ailleurs que dans sa géographie. 
 
P
our que la terminologie soit correcte, les termed qui sont à l’origine d’une autre langue ou d’emprunt doivent être en harmonie les uns avec les autres. Ils se doivent d’être variés et d’actualité.










II.         « Les types de marquage topolectal. »
1.    Chaque terme reçoit un marquage topolectal qui informe à propos de l’endroit où ce terme est employé ou dans quel contexte (codes alphabétiques). Différents concepts sont associés à des réalités politiques, administratives, socioéconomiques, matérielles et culturelles qui sont propres à un État, à un peuple ou à un territoire donné. Marqué au début de la définition ou dans le texte, ce type de marquage est utilisé lorsque «le concept renvoie nettement à une réalité propre à une communauté géopolitique. »






III.       « La problématique de la variation topolectale en contexte de terminologie multilingue. »
     Plusieurs facteurs sont à l’origine de l’ajout des synonymes au terme présenté (vitalité, aire géographique de son emploi, etc.). Ce choix est donc propre à l’auteur.
De plus, les résultats de recherches au Québec sont présentés de l’anglais vers le français, tout dépendamment du résultat terminologique désiré. Pour chaque langue, le choix du terme principal doit obéir aux mêmes règles que dans le cadre de travaux terminologiques unilingues.
  





IV.        Conclusion
Les types de marquage topolectal ont un but particulier qui est en fait de faciliter la tâche aux utilisateurs. Il ne faut pas que ces marques soient formelles, puisque la langue est en constante évolution (mouvement). C’est un moyen de souligner la richesse lexicale d’un côté positif d’une langue.


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