Arbre de domaines
Image de la nomenclature
Fiche terminologique 1
Fiche terminologique 2
Fiche terminologique 3
Source confidentielle 1
Source confidentielle 2
Tableau de sources et contextes
Blogue pédagogique qui servira à échanger avec les étudiantes et les étudiants (terminologues en apprentissage) de l'Université du Québec à Chicoutimi dans le cadre d'un cours offert par Gabrielle Saint-Yves, Phd (porte-parole de la terminologie : Comité mixte sur la terminologie au Canada) sur la terminologie dans le domaine linguistique et par rapport à la traduction. -Le domaine sur lequel je travaillerai se situe dans la cosmétologie il s'agit de la Parfumerie.
jeudi 21 avril 2011
mardi 5 avril 2011
Exemple d'une définition
perle de bain : <cosmétologie,parfumerie> minuscule membrane dissolvable au contact de l'eau ayant une forme sphérique, que l'on dépose dans son bain afin de profiter des bienfaits de l'huile (parfumée ou non )qu'elle contient.
mardi 22 mars 2011
Fiche terminologique
modèle de fiche | ||
domaines | ||
Générique(s) | cosmétologie | |
Spécifique(s) | parfumerie | |
champs français | ||
Terme principal | note de fond n.f | |
Variante(s) en genre | ||
Variante(s) graphique(s) | ||
Abréviation(s) | ||
Synonyme(s) | note de base | |
Variante(s) en genre | ||
Variante(s) graphique(s) | ||
Abréviation(s) | ||
Terme(s) à éviter | ||
Variante(s) en genre | ||
Variante(s) graphique(s) | ||
Abréviation(s) | ||
Définition | La note de fond est la fragrance perçue le plus fortement et le plus longtemps dans une eau de toilette. | |
Contexte(s) | « Les molécules les plus lourdes constituent les notes de fond, et ont une durée de vie beaucoup plus longue, de 8h à plusieurs jours. Ce sont souvent elles qui donnent de la personnalité au parfum. Exemple : notes vanillées, boisées, musquées, ambrées. » -Google.ca | |
Note(s) |
mardi 8 mars 2011
TP7- Voici un petit tableau de synthèse suite à la lecture du document sur la variation topolectale en terminologie.
Grands points | Synthèse |
I. « La prise en compte de la variation topolectale » | 1. La variation géographique est un facteur principal dans les travaux terminologiques unilingues français ou multilingues. Entre autre, l'ISO et le Réseau panlatin de terminologie appuient cette idée, en vue de répondre plus adéquatement aux besoins terminologiques. Cette approche variationniste doit concevoir les outils nécessaires qui répondront aux besoins d'intercommunication du plus grand nombre de francophones. Certains auteurs, à l'époque, qui écrivaient des dictionnaires proposaient une version uniforme de la langue, ils ne prenaient pas en compte les particularités du français. Le français typiquement québécois a longtemps été considéré comme une variété régionale du français. Ceux-ci affirmaient s’approcher le plus possible du français "international", qui correspond au français de Paris. 3. La valorisation de la diversité linguistique se fait de plus en plus sentir au sein des ouvrages linguistiques. On mentionne qu'il est cependant difficile de cerner correctement la variation géographique.La catégorie usage géographique est importante afin d’indiquer les différences d’emploi des divers termes. L’ISO suggère également que les termes soient identifiés à l’aide de symboles de pays. En bref, le marquage topolectal doit être souple afin que les termes puissent être utilisés ailleurs que dans sa géographie. Pour que la terminologie soit correcte, les termed qui sont à l’origine d’une autre langue ou d’emprunt doivent être en harmonie les uns avec les autres. Ils se doivent d’être variés et d’actualité. |
II. « Les types de marquage topolectal. » | 1. Chaque terme reçoit un marquage topolectal qui informe à propos de l’endroit où ce terme est employé ou dans quel contexte (codes alphabétiques). Différents concepts sont associés à des réalités politiques, administratives, socioéconomiques, matérielles et culturelles qui sont propres à un État, à un peuple ou à un territoire donné. Marqué au début de la définition ou dans le texte, ce type de marquage est utilisé lorsque «le concept renvoie nettement à une réalité propre à une communauté géopolitique. » |
III. « La problématique de la variation topolectale en contexte de terminologie multilingue. » | Plusieurs facteurs sont à l’origine de l’ajout des synonymes au terme présenté (vitalité, aire géographique de son emploi, etc.). Ce choix est donc propre à l’auteur. De plus, les résultats de recherches au Québec sont présentés de l’anglais vers le français, tout dépendamment du résultat terminologique désiré. Pour chaque langue, le choix du terme principal doit obéir aux mêmes règles que dans le cadre de travaux terminologiques unilingues. |
IV. Conclusion | Les types de marquage topolectal ont un but particulier qui est en fait de faciliter la tâche aux utilisateurs. Il ne faut pas que ces marques soient formelles, puisque la langue est en constante évolution (mouvement). C’est un moyen de souligner la richesse lexicale d’un côté positif d’une langue. |
mardi 1 mars 2011
TP6
(Toutes les recherches ont été faites avec Termium Plus et GDT)
-Question 1
Comment définir la personne qui tire une partie substantielle de son revenu des pourboires laissés par la clientèle ?
Domaines : appellations d’emploi, fiscalité.
Afin de former un titre à ce genre d’emploi, il serait essentiel que les deux points primordiaux soient nommés : emploi, pouboire.
Termes : employé au pourboire, travailleur au pourboire
« Personne dont la totalité ou une partie de la rémunération consiste en pourboire. »
Question 2
Comment désigner en français le compact disk ?
Domaine : audiovisuel
Ce mot doit donc comporter les éléments importants de ce terme qui sont : c’est un disque, que des appareils peuvent lire et sur lequel les informations sont gravées de façon à ce que plusieurs d’entre elles puissent être stockées de manière compactée.
Termes : CD, disque compact
Question 3
Trouver un terme français afin de désigner une « door hanger » qui est une petite affichette qu’on suspend à la poignée d’une porte.
Domaine : publicité
Terme : affichette de porte.
Question 4
Il serait ici question de nommer un petit billet ou une note sur laquelle il serait rappelé la dette d’une personne envers une autre, en termes d’argent.
Domaine : droit.
Termes : billet, note
Question 5
Trouver un équivalent pour « talk-show ».
Domaine : radiotélévision.
Dans ces nouvelles appellations, il se doit d’avoir des éléments clés qui mentionnent le fait que ce n’est pas simplement une émission de télévision qui diffuse des images et une personne monotone qui parle devant une caméra. Il s’agit d’une émission où il y a des performances, des invités etc.
Des termes comme : interview-variétés, émission-débat, infovariétés,
Question 6
Trouvez un équivalent français pour tie-in-ad qui désigne des publicités payées par un annonceur principal auquel se joignent des annonceurs secondaires.
Domaine : publicité
Terme : annonce collective
Question 7
Trouver un équivalent anglais pour « diagnostic », faisant référence à une évaluation de santé d’une compagnie par des évaluateurs.
Domaine : évaluation d’entreprise
Termes : Diagnosis,
Question 8
Trouver un équivalent pour goodwill qui se trouve à représenter des surplus monétaires par rapport à la valeur d’une entreprise.
Domaine : évaluation d’entreprise.
Terme : cote d’estime.
Question 9
Trouver un équivalent pour mountain bike. Domaine : sports, loisir
Ce terme a pour but de caractériser une bicyclette aux traits plus gros et différents de la normal. L’idée de la montagne serait à la base pour identifier le contexte primaire concernant l’emploi de cette bicyclette et non ses traits caractéristiques physiologiques.
Termes : vélo de montagne, vélo tout terrain,
Question 10 Trouver un équivalent anglais pour émission cadre regroupant des thèmes particuliers différents chaque semaine.
Domaines : radio/télévision
Termes: special presentation, stand-alone program
-Question 1
Comment définir la personne qui tire une partie substantielle de son revenu des pourboires laissés par la clientèle ?
Domaines : appellations d’emploi, fiscalité.
Afin de former un titre à ce genre d’emploi, il serait essentiel que les deux points primordiaux soient nommés : emploi, pouboire.
Termes : employé au pourboire, travailleur au pourboire
« Personne dont la totalité ou une partie de la rémunération consiste en pourboire. »
Question 2
Comment désigner en français le compact disk ?
Domaine : audiovisuel
Ce mot doit donc comporter les éléments importants de ce terme qui sont : c’est un disque, que des appareils peuvent lire et sur lequel les informations sont gravées de façon à ce que plusieurs d’entre elles puissent être stockées de manière compactée.
Termes : CD, disque compact
Question 3
Trouver un terme français afin de désigner une « door hanger » qui est une petite affichette qu’on suspend à la poignée d’une porte.
Domaine : publicité
Terme : affichette de porte.
Question 4
Il serait ici question de nommer un petit billet ou une note sur laquelle il serait rappelé la dette d’une personne envers une autre, en termes d’argent.
Domaine : droit.
Termes : billet, note
Question 5
Trouver un équivalent pour « talk-show ».
Domaine : radiotélévision.
Dans ces nouvelles appellations, il se doit d’avoir des éléments clés qui mentionnent le fait que ce n’est pas simplement une émission de télévision qui diffuse des images et une personne monotone qui parle devant une caméra. Il s’agit d’une émission où il y a des performances, des invités etc.
Des termes comme : interview-variétés, émission-débat, infovariétés,
Question 6
Trouvez un équivalent français pour tie-in-ad qui désigne des publicités payées par un annonceur principal auquel se joignent des annonceurs secondaires.
Domaine : publicité
Terme : annonce collective
Question 7
Trouver un équivalent anglais pour « diagnostic », faisant référence à une évaluation de santé d’une compagnie par des évaluateurs.
Domaine : évaluation d’entreprise
Termes : Diagnosis,
Question 8
Trouver un équivalent pour goodwill qui se trouve à représenter des surplus monétaires par rapport à la valeur d’une entreprise.
Domaine : évaluation d’entreprise.
Terme : cote d’estime.
Question 9
Trouver un équivalent pour mountain bike. Domaine : sports, loisir
Ce terme a pour but de caractériser une bicyclette aux traits plus gros et différents de la normal. L’idée de la montagne serait à la base pour identifier le contexte primaire concernant l’emploi de cette bicyclette et non ses traits caractéristiques physiologiques.
Termes : vélo de montagne, vélo tout terrain,
Question 10 Trouver un équivalent anglais pour émission cadre regroupant des thèmes particuliers différents chaque semaine.
Domaines : radio/télévision
Termes: special presentation, stand-alone program
lundi 21 février 2011
mardi 15 février 2011
lundi 14 février 2011
mardi 8 février 2011
TP4
Tableau synthétique sur la Politique de l’officialisation linguistique
1. « Le cadre juridique de l’intervention de l’Office québécois de la langue française en matière linguistique et terminologique. » | Ce premier aspect se résume en tant qu’explicatif du mandat qu’exerce l’Office en utilisant non pas ses deux types mais bien trois, puisqu’un nouveau s’est ajouté. On parle donc de la recommandation, de la normalisation et du nouveau type qui est la proposition. |
2. « La norme de référence et la réalité sociolinguistique. » | Ce chapitre se penche sur la forme dite « standard » de la langue, conformément à celle qui est décrite dans les principaux ouvrages lexicographiques ou de grammaire. Il y est également expliciter le phénomène omniprésent des termes qui ne réussissent pas à s’implante dans les langues et donc le rôle que joue l’Office afin de contrer les lacunes que laissent ces mots. |
3. « La portée de la recommandation et de la normalisation.» →3.1 La portée sociolinguistique de la recommandation et de la normalisation. →3.2 La portée juridique de la normalisation. →3.3 Les délais d’intervention. | Il est traité ici des potentielles contraintes ou limites concernant les facteurs sociolinguistiques. Dans le chapitre ainsi que dans les secondaires, les principaux points qui ressortent sont entre autre le fait qu’un terme soit recommandé ou normalisé, le taux de succès le plus important des termes qui étaient déjà en voie d’implantation ou implantés avant leur recommandation ou normalisation. Aussi, le degré d’acceptation et d’utilisation de termes ou expressions recommandés ou normalisés. Il semble qu’un nouveau terme a autant de probabilité d’être accepté que la recommandation de son usage est justifiée aux usagers. L’Office se demande également comment on pourrait imposer des pénalités pour le non-usage d’un mot ou d’une expression. Finalement, la durée de traitement est très longue (entre 6 mois et deux ans) avant qu’un terme ne soit publié. Ce qui nuit grandement à l’efficacité de l’intervention des terminologues et linguistes. |
4. « Les principes directeurs de l’intervention de l’Office. » →4.1 Les termes déjà en usage au Québec. →4.2 Les termes nouveaux. | L’Office se doit d’orienter ses travaux vers la terminologie, donc à la production et la diffusion annuelle de plusieurs milliers de terme dans Le Grand dictionnaire terminologique. Il doit aussi garantir une assistance linguistique et terminologique. Pour des termes différents de ceux présents en France mais qui respecte la norme, c’est le terme québécois qui sera privilégié puisque la diversité géographique contribue fortement à enrichir le français standard, sans que l’intercompréhension ne soit touchée. Il y a également le fait que l’Office met l’accent sur la diffusion rapide afin de répondre rapidement aux besoins des usagers, au moyen de la proposition. |
5. « Les niveaux d’intervention de l’Office : la proposition, la recommandation et la normalisation. » →5.1 La proposition. →5.2 La recommandation et la normalisation. | L’Office tend également à favoriser une approche informative et éducative, ce qui résume bien le rôle de la proposition. Elle propose rapidement les termes et expression afin de maximiser leurs chances d’implantation et pour répondre aux besoins des usagers. Sa structure est assez souple pour permettre des mises à jour fréquentes et nécessaires. Le rôle incitatif est joué par la recommandation tandis que celui de la normalisation est le caractère obligatoire. Ils se concentrent sur la résolution des cas qui posent des problèmes ou qui risqueraient d’en créer dans le cadre de communications publiques. Ils favorisent aussi l’implantation des termes retenus. |
6. « Les critères d’officialisation. » →6.1 La recommandation. →6.2 La normalisation. →6.3 Les cas de non-officialisation. | Les critères d’officialisation sont décrits et retenus en fonction des mécanismes que sont la recommandation ainsi que leurs caractéristiques respectives. Les problèmes peuvent être directement en lien avec une concurrence trop élevée en termes anglais, de traitement inapproprié dans les ouvrages de la langue. La recommandation s’applique donc aux cas d’acceptation de forme linguistiques étrangères, aux solutions à des problèmes linguistiques et à définir la position officielle de l’Office sur des questions linguistiques ou terminologiques qui ont un impact important sur l’approbation de la norme linguistique au Québec. La normalisation se restreint à la sécurité publique (signalisation routière), à la protection du consommateur (étiquetage des produits et (bonne) traduction) ainsi qu’aux échanges commerciaux sur le plan international. On appelle plus communément les cas de « non-officialisation » les demandes qui sont refusées grâce aux critères de recommandation et de normalisation. Voici les principales demandes qu’ils se doivent de faire refuser : - les demandes d’officialisation d’un terme déjà bien établi et largement répandu dans l’usage, - l’officialisation d’un terme dont l’usage est déjà prescrit par une loi ou un règlement, -l’officialisation d’un répertoire terminologique ou d’un grand nombre de terme relatifs à un domaine d’activité, sauf si la demande émane du comité linguistique d’un ministère, -l’officialisation pour uniformiser l’usage à l’intérieur d’un domaine de spécialité ou pour trancher des cas de polysémie. |
7. « Le Comité d’officialisation linguistique. » →7.1 Le mandat du comité. →7.2 La composition du comité. →7.3 Le processus d’officialisation. →7.3.1 L’origine des demandes. →7.3.2 La recevabilité des demandes. →7.3.3 Le traitement des dossiers. →7.3.4 Les délibérations. →7.4 Les décisions de l’Office. →7.4.1 Les avis de recommandation. →7.4.2 Les avis de normalisation. 7.4.3 Les énoncés de politique linguistique. 7.5 La révision des avis officiels. | Le comité est en mesure de proposer à l’Office lui-même de demander officiellement à un ministère d’instituer un comité linguistique. Le Comité d’officialisation linguistique est composé de cinq membres nommés par l’Office : -un président choisi parmi les membres de l’Office; -trois membres choisis à l’extérieur de l’organisme; -un membre du personnel de l’Office qui assume le rôle de secrétaire du comité. Le processus d’officialisation est précis et strict. Il exige que certains aspects soient pris en considération : -l’origine et la recevabilité des demandes; -le traitement des dossiers et les délibérations. Les demandes qui sont traitées pas le comité viennent directement de représentants de l’Administration et visent à combler les besoins des usagers. Le secrétaire est la personne qui achemine les demandes vers l’un ou l’autre service de la Direction des services linguistiques. Dans ces cas-ci, tous les documents lui sont transférés, qu’il s’agisse de la fiche terminologique jusqu’à l’avis d’experts des domaines de spécialités visés. Les termes qui seront choisis doivent obligatoirement respecter la norme linguistique valorisée par l’Office. Le comité examine les dossiers et délibère selon les modalités de fonctionnement interne. En cas de partage égal des voix lors d’un vote, le président du comité a le pouvoir d’une voix prépondérante. Une décision de l’Office donne droit à la publication de trois types d’avis officiels : les avis de recommandation, les avis de normalisation et les énoncés de politique linguistique. En recommandant un certain terme, l’Office donne un choix officiel susceptible d’orienter et de guider l’usage, sans rendre l’emploi obligatoire. L’emploi des termes normalisés est obligatoire dans les situations de communications officielles. Les énoncés de politique linguistique qui traitent de l’emprunt et les québécismes définissent la position officielle de l’Office sur des points linguistiques ou terminologiques importants pour le développement de la langue française et pour l’usage au Québec. La révision des avis est justifiée par la nécessité de prendre en compte les changements qui touchent l’Administration tout en prenant en considération les nouvelles données sociolinguistiques. Le changement d’avis peut engendrer le changement de statut d’un avis, son annulation et aussi elle peut mener à la modification des données linguistiques et terminologiques qu’il contient. |
Inscription à :
Articles (Atom)