Blogue pédagogique qui servira à échanger avec les étudiantes et les étudiants (terminologues en apprentissage) de l'Université du Québec à Chicoutimi dans le cadre d'un cours offert par Gabrielle Saint-Yves, Phd (porte-parole de la terminologie : Comité mixte sur la terminologie au Canada) sur la terminologie dans le domaine linguistique et par rapport à la traduction. -Le domaine sur lequel je travaillerai se situe dans la cosmétologie il s'agit de la Parfumerie.
lundi 21 février 2011
mardi 15 février 2011
lundi 14 février 2011
mardi 8 février 2011
TP4
Tableau synthétique sur la Politique de l’officialisation linguistique
1. « Le cadre juridique de l’intervention de l’Office québécois de la langue française en matière linguistique et terminologique. » | Ce premier aspect se résume en tant qu’explicatif du mandat qu’exerce l’Office en utilisant non pas ses deux types mais bien trois, puisqu’un nouveau s’est ajouté. On parle donc de la recommandation, de la normalisation et du nouveau type qui est la proposition. |
2. « La norme de référence et la réalité sociolinguistique. » | Ce chapitre se penche sur la forme dite « standard » de la langue, conformément à celle qui est décrite dans les principaux ouvrages lexicographiques ou de grammaire. Il y est également expliciter le phénomène omniprésent des termes qui ne réussissent pas à s’implante dans les langues et donc le rôle que joue l’Office afin de contrer les lacunes que laissent ces mots. |
3. « La portée de la recommandation et de la normalisation.» →3.1 La portée sociolinguistique de la recommandation et de la normalisation. →3.2 La portée juridique de la normalisation. →3.3 Les délais d’intervention. | Il est traité ici des potentielles contraintes ou limites concernant les facteurs sociolinguistiques. Dans le chapitre ainsi que dans les secondaires, les principaux points qui ressortent sont entre autre le fait qu’un terme soit recommandé ou normalisé, le taux de succès le plus important des termes qui étaient déjà en voie d’implantation ou implantés avant leur recommandation ou normalisation. Aussi, le degré d’acceptation et d’utilisation de termes ou expressions recommandés ou normalisés. Il semble qu’un nouveau terme a autant de probabilité d’être accepté que la recommandation de son usage est justifiée aux usagers. L’Office se demande également comment on pourrait imposer des pénalités pour le non-usage d’un mot ou d’une expression. Finalement, la durée de traitement est très longue (entre 6 mois et deux ans) avant qu’un terme ne soit publié. Ce qui nuit grandement à l’efficacité de l’intervention des terminologues et linguistes. |
4. « Les principes directeurs de l’intervention de l’Office. » →4.1 Les termes déjà en usage au Québec. →4.2 Les termes nouveaux. | L’Office se doit d’orienter ses travaux vers la terminologie, donc à la production et la diffusion annuelle de plusieurs milliers de terme dans Le Grand dictionnaire terminologique. Il doit aussi garantir une assistance linguistique et terminologique. Pour des termes différents de ceux présents en France mais qui respecte la norme, c’est le terme québécois qui sera privilégié puisque la diversité géographique contribue fortement à enrichir le français standard, sans que l’intercompréhension ne soit touchée. Il y a également le fait que l’Office met l’accent sur la diffusion rapide afin de répondre rapidement aux besoins des usagers, au moyen de la proposition. |
5. « Les niveaux d’intervention de l’Office : la proposition, la recommandation et la normalisation. » →5.1 La proposition. →5.2 La recommandation et la normalisation. | L’Office tend également à favoriser une approche informative et éducative, ce qui résume bien le rôle de la proposition. Elle propose rapidement les termes et expression afin de maximiser leurs chances d’implantation et pour répondre aux besoins des usagers. Sa structure est assez souple pour permettre des mises à jour fréquentes et nécessaires. Le rôle incitatif est joué par la recommandation tandis que celui de la normalisation est le caractère obligatoire. Ils se concentrent sur la résolution des cas qui posent des problèmes ou qui risqueraient d’en créer dans le cadre de communications publiques. Ils favorisent aussi l’implantation des termes retenus. |
6. « Les critères d’officialisation. » →6.1 La recommandation. →6.2 La normalisation. →6.3 Les cas de non-officialisation. | Les critères d’officialisation sont décrits et retenus en fonction des mécanismes que sont la recommandation ainsi que leurs caractéristiques respectives. Les problèmes peuvent être directement en lien avec une concurrence trop élevée en termes anglais, de traitement inapproprié dans les ouvrages de la langue. La recommandation s’applique donc aux cas d’acceptation de forme linguistiques étrangères, aux solutions à des problèmes linguistiques et à définir la position officielle de l’Office sur des questions linguistiques ou terminologiques qui ont un impact important sur l’approbation de la norme linguistique au Québec. La normalisation se restreint à la sécurité publique (signalisation routière), à la protection du consommateur (étiquetage des produits et (bonne) traduction) ainsi qu’aux échanges commerciaux sur le plan international. On appelle plus communément les cas de « non-officialisation » les demandes qui sont refusées grâce aux critères de recommandation et de normalisation. Voici les principales demandes qu’ils se doivent de faire refuser : - les demandes d’officialisation d’un terme déjà bien établi et largement répandu dans l’usage, - l’officialisation d’un terme dont l’usage est déjà prescrit par une loi ou un règlement, -l’officialisation d’un répertoire terminologique ou d’un grand nombre de terme relatifs à un domaine d’activité, sauf si la demande émane du comité linguistique d’un ministère, -l’officialisation pour uniformiser l’usage à l’intérieur d’un domaine de spécialité ou pour trancher des cas de polysémie. |
7. « Le Comité d’officialisation linguistique. » →7.1 Le mandat du comité. →7.2 La composition du comité. →7.3 Le processus d’officialisation. →7.3.1 L’origine des demandes. →7.3.2 La recevabilité des demandes. →7.3.3 Le traitement des dossiers. →7.3.4 Les délibérations. →7.4 Les décisions de l’Office. →7.4.1 Les avis de recommandation. →7.4.2 Les avis de normalisation. 7.4.3 Les énoncés de politique linguistique. 7.5 La révision des avis officiels. | Le comité est en mesure de proposer à l’Office lui-même de demander officiellement à un ministère d’instituer un comité linguistique. Le Comité d’officialisation linguistique est composé de cinq membres nommés par l’Office : -un président choisi parmi les membres de l’Office; -trois membres choisis à l’extérieur de l’organisme; -un membre du personnel de l’Office qui assume le rôle de secrétaire du comité. Le processus d’officialisation est précis et strict. Il exige que certains aspects soient pris en considération : -l’origine et la recevabilité des demandes; -le traitement des dossiers et les délibérations. Les demandes qui sont traitées pas le comité viennent directement de représentants de l’Administration et visent à combler les besoins des usagers. Le secrétaire est la personne qui achemine les demandes vers l’un ou l’autre service de la Direction des services linguistiques. Dans ces cas-ci, tous les documents lui sont transférés, qu’il s’agisse de la fiche terminologique jusqu’à l’avis d’experts des domaines de spécialités visés. Les termes qui seront choisis doivent obligatoirement respecter la norme linguistique valorisée par l’Office. Le comité examine les dossiers et délibère selon les modalités de fonctionnement interne. En cas de partage égal des voix lors d’un vote, le président du comité a le pouvoir d’une voix prépondérante. Une décision de l’Office donne droit à la publication de trois types d’avis officiels : les avis de recommandation, les avis de normalisation et les énoncés de politique linguistique. En recommandant un certain terme, l’Office donne un choix officiel susceptible d’orienter et de guider l’usage, sans rendre l’emploi obligatoire. L’emploi des termes normalisés est obligatoire dans les situations de communications officielles. Les énoncés de politique linguistique qui traitent de l’emprunt et les québécismes définissent la position officielle de l’Office sur des points linguistiques ou terminologiques importants pour le développement de la langue française et pour l’usage au Québec. La révision des avis est justifiée par la nécessité de prendre en compte les changements qui touchent l’Administration tout en prenant en considération les nouvelles données sociolinguistiques. Le changement d’avis peut engendrer le changement de statut d’un avis, son annulation et aussi elle peut mener à la modification des données linguistiques et terminologiques qu’il contient. |
dimanche 6 février 2011
Tp2
#1
→ Voici les termes appartenant au domaine de l’encyclopédie numérique trouvés dans l’article « Le miracle de l’auto-organisation ». (Les définitions sont entre parenthèses et elles ne se retrouvent pas en totalité dans l’article.) :
-Wikipédia (Nom d’une de ces encyclopédies numériques)-Ouvrage de référence en ligne (Sur le Web )
-Nupedia (Nom d’une de ces encyclopédies numériques)
-Outil collaboratif (Chacun peut apporter son grain de sel selon l’étendue des connaissances)
-Pages numériques (Pages numérisées diffusées dans Internet)
-Écriture collaborative en ligne (La population contribue à l’écriture de différentes pages librement ) – Dans l’article.
-(L’)autorégulation
-Robot spécialisé ( Salebot )
-Informatique libre
-Liberté de la Toile (Éviter les formats privés)
-Savoir numérique partagé
-L’encyclopédie des gens ( Pour les gens, par les gens)
-Logiciel
-Système d’information organisationnelle
-Synergie
-Wikisceptiques ( Ceux qui, dans les premières années de Wikipédia s’en sont donné à cœur joie pour dénoncer, dénigrer et déprécier ce pharaonique projet d’ouvrage de référence en ligne.) – Dans l’article.
#2
→Selon les Notes de cours de Pierre Auger et de Jean-Claude Boulanger.
a) La terminologie est un aspect de la langue qui a fait une apparition tardive, soit en 1801 dans un ouvrage nommé « Néologie » de Sébastien Mercier. Cette science a fait son entrée suite au désir d’inclure des termes scientifiques et précis dans les ouvrages. À cette époque, ces termes étaient perçus comme étant hors du bon usage cependant plusieurs personnes les considéraient comme une part indispensable de la nomenclature. « Des mots à savoir plutôt que le savoir des mots ». L’encyclopédie de Diderot serait très proche de la terminologie, par son contenu riche et précis.
En effet, il semble que sur une ligne temporelle la terminologie en tant que discipline autonome se situe entre la sortie de l’encyclopédie de D’Alembert et Diderot et le moment de la création des premières banques de terminologie, bien qu’il se soit écoulé près de 200 ans entre ces moments marquants.
Un fait plutôt intéressant concernant la terminologie vient du fait que le Grand Robert de la langue française (GRLF, 1985) est le premier dictionnaire à inclure la famille lexicales entière dérivant du mot « terme » comme entrée dans sa nomenclature.
b) Linguistico-terminologique : Ce courant constitue le noyau du développement de la terminologie moderne. Trois écoles distinctes constituent ce courant : l’École de Vienne, qui est regroupée autour d’Eugen Wϋster et qui fait la synthèse de tous les travaux théoriques et pratiques faits avant 1930. Vient ensuite l’École de Prague dont les travaux principaux ont surtout touché la description fonctionnelle des langues de spécialités, la norme linguistique, la normalisation terminologique et la morphologie du terme. Finalement, l’École de Moscou qui applique les théories terminologiques de Wϋster à la langue Russe. Cette école se spécialise surtout au plan de la description théorique et de la production terminographique.
Traductionnel : Il lie les concepts de terminologie et de traduction. Il représente historiquement le courant de plus important en termes de développement des activités de terminologie dans le monde francophone. Les bureaux de traduction ont souvent permis de développer des structures de recherche en terminologie (banques de terminologie).
Aménagiste : Ce courant-ci a su donné un éclat de nouveauté à la terminologie à partir des années soixante-dix, particulièrement au Québec avec des projets linguistiques. C’est la mise en rapport des concepts de francisation et d’aménagement linguistique (le sens que le linguiste donne) qui caractérisent ce courant. L’aménagement terminologique pour sa part, est un processus réfléchis par lequel sont conçues, élaborées et implantées des terminologies dans le vécu des langues d’un groupe-cible.
Industriel : Il place la terminologie dans une vision industrielle de la langue en tant que composante essentielle des nouvelles technologies et comme produit d’un traitement automatique de la langue naturelle. Les étapes de la recherche poursuivent une logique qui s’adapte aux technologies de manipulations textuelles.
→Les organismes s’occupant de l’aménagement terminologique se divisent en trois catégories :
-Organismes Internationaux : C.C.E (Commission communautés européennes)
Organisation des Nations Unies (O.N.U)
-Organismes Professionnels : Société de traducteurs, interprètes, terminologues.
-Organismes Nationaux : Bureau de traduction du Gouvernement Canadien.
c) La terminotique est un terme désignant la terminologie assistée par un ordinateur. Il s’agit donc du lien qu’entretiennent la terminologie et les nouvelles technologies qui se développent perpétuellement.
d) Le rôle des terminologies dans le monde se résume en cinq principaux points. L’ordonnancement de la connaissance (systèmes de connaissance), le transfert des connaissances (savoir-faire, technologies), formation et éducation, qui peut se résumer au fait qu’il y ait du partage d’information entre les individus d’une population à des fins culturels et d’apprentissage. La formulation et diffusion de l’information scientifique et technique, sont les informations précises et de sources cultivées qui s’adonnent à la propagation de leurs connaissances. La traduction des textes scientifiques et techniques vers d’autres langues, peut être elle aussi une manière de diffusion et de conservation, puisque l’information est répartie à travers plusieurs langues et population.
Le stockage et le repérage de l’information, scientifique et technique (documentation).
e) La terminologie est sans aucun doute une science d’envergure considérable comparativement à tous les phénomènes et nouveautés qui vont et qui viennent. En plus d’être d’une importance capitale dans le domaine linguistique, la terminologie est une science qui est en croissance permanente ou définie comme étant une science qui grandit. Le progrès des sciences et des technologies, les communications instantanées, la mondialisation de l’économie, l’internationalisation et les politiques linguistiques sont les facteurs principaux qui contribuent au perpétuel grandissement de la terminologie.
f) La terminologie en elle-même a un rapport direct avec les autres sciences du langage puisque chaque science est un élément clé dans la structure de la terminologie. Qu’il s’agisse de la classification ou de la lexicographie chaque composant fait en sorte que la terminologie est plus complète, plus précise. Tous les éléments présents dans le Tableau 1 réunis ensemble, forment la science terminologique.
Il est donc véridique d’affirmer que ces sciences forment un tout harmonieux et que si un seul de ces composants s’en sépare la terminologie n’est donc plus ce qu’elle est supposée être.
#3
Distinction entre les langues de spécialités et les langues communes.
-Référence des termes : www.olf.gouv.qc.ca
La langue, dite commune est aussi appelée langue générale, cette réalité représente une partie du système linguistique qui est utilisée et comprise par la majorité des locuteurs d’une communauté linguistique. La langue spécialisée pour sa part, est une expression plus générique et qui sert à désigner les langues utilisées dans des contextes de communication, qu’ils soient oraux ou écrits et qui ont pour but de transmettre une information issue d’un champ d’expérience particulier. La différence étant claire sur le point que la langue commune désigne un sujet plus large de sens comparativement à la langue spécialisée, qui désigne un sujet plus précis, plus restreint. « Couleur café »
Par exemple, si l’on prend le terme « café1 », qui signifie au sens premier «Boisson obtenue par l'infusion, et plus rarement par la décoction, de café moulu », on pourrait donc affirmer que cette définition se classe comme étant de langue commune. En effet, si elle est comparée avec la définition de « café2 » qui désigne « Graines du fruit du caféier à différents stades de transformation et d'utilisation, qu'elles soient torréfiées ou non, entières ou moulues. » on constate que cette dernière est beaucoup plus scientifique, beaucoup plus poussée. Pour le même terme, plusieurs expressions connexes (spécialisées) y sont liées, elles peuvent être plus précises ou avoir des caractéristiques particulières (provenance, torréfaction, mode de préparation etc.) qui font en sorte que leur appellation diffère. En voici quelques unes, suivies de leur définition :
-Café aromatisé : « Café auquel une saveur a été ajoutée soit au grain à l'aide d'agents aromatisants ou d'essences naturelles, soit directement dans la tasse avec un sirop aromatisé. »
-Café arabica : « Café obtenu à partir des grains du caféier arabica. »
-Café décaféiné : « Café dont on a extrait une grande partie de la caféine lorsqu'il était encore vert. »
-Café moka ou mochaccino : « Boisson préparée à partir d'un mélange d'expresso, de poudre de chocolat, ou de cacao, et de lait chaud mousseux. »
« Êtes-vous amoureux des livres ? »
Pour deuxième exemple, le terme « livre » se catégorise dans les termes communs et plus larges et se définit comme étant un « Assemblage de feuilles imprimées qui a été relié et muni d'une couverture, et qui constitue le support d'une œuvre » tandis que les exemples ci-dessous représentent les spécialisés.
-Livre à gros tirage : « Livre qui s'est vendu en de très nombreux exemplaires. »
-Livre cartonné : « Livre qui possède une reliure. »
-Livre de fonds : «Livre disponible en librairie qui n'est ni une nouveauté, ni un succès de librairie »
« Des mots fondants, croquants, collants... »
Ce domaine-ci est connu de tous mais jusqu’à quel niveau ? Les sucreries et les bonbons (« Petite sucrerie, souvent aromatisée et colorée, qui peut revêtir différentes formes et qui a généralement une consistance dure et ferme. ») font partie de notre quotidien depuis que nous sommes jeunes et très peu de gens sont conscients du nombre de bonbons existants mais encore moins de leur nom. Qu’ils soient ronds, mous, durs, colorés ou en formes quelconques croyez le ou non, ils ont tous leur nom respectif, qui est bien souvent poétique et descriptif et qui fait partie des langues spécialisées puisqu’il précise le bonbon désigné. En voici une infime partie :
-Bonbon gélifié : « Bonbon à base de gélatine ou de pectine, à texture molle, collante, élastique, aux couleurs et aux formes variées. »
-Bonbon haricot : « Bonbon en forme de haricot fait d'une préparation gélatineuse recouverte d'une coquille de sucre souple, aux couleurs et aux saveurs variées. »
-Dragée : « Confiserie composée traditionnellement d'une amande enrobée de sucre fin durci et poli, blanc ou coloré. »
-Jujube : « Confiserie de forme conique ou hémisphérique faite de gomme arabique et de glucose ou de sirop de maïs et de gélatine, souvent roulée dans un sucre cristallisé. »
-Frappé aux fraises : « Bonbon à base de gélatine très tendre, en forme de bouteille de verre de couleur rose pâle et blanc, au goût voilé de fraise et de crème. » -Description selon Alexandra Lavoie-Côté !
→ Voici les termes appartenant au domaine de l’encyclopédie numérique trouvés dans l’article « Le miracle de l’auto-organisation ». (Les définitions sont entre parenthèses et elles ne se retrouvent pas en totalité dans l’article.) :
-Wikipédia (Nom d’une de ces encyclopédies numériques)-Ouvrage de référence en ligne (Sur le Web )
-Nupedia (Nom d’une de ces encyclopédies numériques)
-Outil collaboratif (Chacun peut apporter son grain de sel selon l’étendue des connaissances)
-Pages numériques (Pages numérisées diffusées dans Internet)
-Écriture collaborative en ligne (La population contribue à l’écriture de différentes pages librement ) – Dans l’article.
-(L’)autorégulation
-Robot spécialisé ( Salebot )
-Informatique libre
-Liberté de la Toile (Éviter les formats privés)
-Savoir numérique partagé
-L’encyclopédie des gens ( Pour les gens, par les gens)
-Logiciel
-Système d’information organisationnelle
-Synergie
-Wikisceptiques ( Ceux qui, dans les premières années de Wikipédia s’en sont donné à cœur joie pour dénoncer, dénigrer et déprécier ce pharaonique projet d’ouvrage de référence en ligne.) – Dans l’article.
#2
→Selon les Notes de cours de Pierre Auger et de Jean-Claude Boulanger.
a) La terminologie est un aspect de la langue qui a fait une apparition tardive, soit en 1801 dans un ouvrage nommé « Néologie » de Sébastien Mercier. Cette science a fait son entrée suite au désir d’inclure des termes scientifiques et précis dans les ouvrages. À cette époque, ces termes étaient perçus comme étant hors du bon usage cependant plusieurs personnes les considéraient comme une part indispensable de la nomenclature. « Des mots à savoir plutôt que le savoir des mots ». L’encyclopédie de Diderot serait très proche de la terminologie, par son contenu riche et précis.
En effet, il semble que sur une ligne temporelle la terminologie en tant que discipline autonome se situe entre la sortie de l’encyclopédie de D’Alembert et Diderot et le moment de la création des premières banques de terminologie, bien qu’il se soit écoulé près de 200 ans entre ces moments marquants.
Un fait plutôt intéressant concernant la terminologie vient du fait que le Grand Robert de la langue française (GRLF, 1985) est le premier dictionnaire à inclure la famille lexicales entière dérivant du mot « terme » comme entrée dans sa nomenclature.
b) Linguistico-terminologique : Ce courant constitue le noyau du développement de la terminologie moderne. Trois écoles distinctes constituent ce courant : l’École de Vienne, qui est regroupée autour d’Eugen Wϋster et qui fait la synthèse de tous les travaux théoriques et pratiques faits avant 1930. Vient ensuite l’École de Prague dont les travaux principaux ont surtout touché la description fonctionnelle des langues de spécialités, la norme linguistique, la normalisation terminologique et la morphologie du terme. Finalement, l’École de Moscou qui applique les théories terminologiques de Wϋster à la langue Russe. Cette école se spécialise surtout au plan de la description théorique et de la production terminographique.
Traductionnel : Il lie les concepts de terminologie et de traduction. Il représente historiquement le courant de plus important en termes de développement des activités de terminologie dans le monde francophone. Les bureaux de traduction ont souvent permis de développer des structures de recherche en terminologie (banques de terminologie).
Aménagiste : Ce courant-ci a su donné un éclat de nouveauté à la terminologie à partir des années soixante-dix, particulièrement au Québec avec des projets linguistiques. C’est la mise en rapport des concepts de francisation et d’aménagement linguistique (le sens que le linguiste donne) qui caractérisent ce courant. L’aménagement terminologique pour sa part, est un processus réfléchis par lequel sont conçues, élaborées et implantées des terminologies dans le vécu des langues d’un groupe-cible.
Industriel : Il place la terminologie dans une vision industrielle de la langue en tant que composante essentielle des nouvelles technologies et comme produit d’un traitement automatique de la langue naturelle. Les étapes de la recherche poursuivent une logique qui s’adapte aux technologies de manipulations textuelles.
→Les organismes s’occupant de l’aménagement terminologique se divisent en trois catégories :
-Organismes Internationaux : C.C.E (Commission communautés européennes)
Organisation des Nations Unies (O.N.U)
-Organismes Professionnels : Société de traducteurs, interprètes, terminologues.
-Organismes Nationaux : Bureau de traduction du Gouvernement Canadien.
c) La terminotique est un terme désignant la terminologie assistée par un ordinateur. Il s’agit donc du lien qu’entretiennent la terminologie et les nouvelles technologies qui se développent perpétuellement.
d) Le rôle des terminologies dans le monde se résume en cinq principaux points. L’ordonnancement de la connaissance (systèmes de connaissance), le transfert des connaissances (savoir-faire, technologies), formation et éducation, qui peut se résumer au fait qu’il y ait du partage d’information entre les individus d’une population à des fins culturels et d’apprentissage. La formulation et diffusion de l’information scientifique et technique, sont les informations précises et de sources cultivées qui s’adonnent à la propagation de leurs connaissances. La traduction des textes scientifiques et techniques vers d’autres langues, peut être elle aussi une manière de diffusion et de conservation, puisque l’information est répartie à travers plusieurs langues et population.
Le stockage et le repérage de l’information, scientifique et technique (documentation).
e) La terminologie est sans aucun doute une science d’envergure considérable comparativement à tous les phénomènes et nouveautés qui vont et qui viennent. En plus d’être d’une importance capitale dans le domaine linguistique, la terminologie est une science qui est en croissance permanente ou définie comme étant une science qui grandit. Le progrès des sciences et des technologies, les communications instantanées, la mondialisation de l’économie, l’internationalisation et les politiques linguistiques sont les facteurs principaux qui contribuent au perpétuel grandissement de la terminologie.
f) La terminologie en elle-même a un rapport direct avec les autres sciences du langage puisque chaque science est un élément clé dans la structure de la terminologie. Qu’il s’agisse de la classification ou de la lexicographie chaque composant fait en sorte que la terminologie est plus complète, plus précise. Tous les éléments présents dans le Tableau 1 réunis ensemble, forment la science terminologique.
Il est donc véridique d’affirmer que ces sciences forment un tout harmonieux et que si un seul de ces composants s’en sépare la terminologie n’est donc plus ce qu’elle est supposée être.
#3
Distinction entre les langues de spécialités et les langues communes.
-Référence des termes : www.olf.gouv.qc.ca
La langue, dite commune est aussi appelée langue générale, cette réalité représente une partie du système linguistique qui est utilisée et comprise par la majorité des locuteurs d’une communauté linguistique. La langue spécialisée pour sa part, est une expression plus générique et qui sert à désigner les langues utilisées dans des contextes de communication, qu’ils soient oraux ou écrits et qui ont pour but de transmettre une information issue d’un champ d’expérience particulier. La différence étant claire sur le point que la langue commune désigne un sujet plus large de sens comparativement à la langue spécialisée, qui désigne un sujet plus précis, plus restreint. « Couleur café »
Par exemple, si l’on prend le terme « café1 », qui signifie au sens premier «Boisson obtenue par l'infusion, et plus rarement par la décoction, de café moulu », on pourrait donc affirmer que cette définition se classe comme étant de langue commune. En effet, si elle est comparée avec la définition de « café2 » qui désigne « Graines du fruit du caféier à différents stades de transformation et d'utilisation, qu'elles soient torréfiées ou non, entières ou moulues. » on constate que cette dernière est beaucoup plus scientifique, beaucoup plus poussée. Pour le même terme, plusieurs expressions connexes (spécialisées) y sont liées, elles peuvent être plus précises ou avoir des caractéristiques particulières (provenance, torréfaction, mode de préparation etc.) qui font en sorte que leur appellation diffère. En voici quelques unes, suivies de leur définition :
-Café aromatisé : « Café auquel une saveur a été ajoutée soit au grain à l'aide d'agents aromatisants ou d'essences naturelles, soit directement dans la tasse avec un sirop aromatisé. »
-Café arabica : « Café obtenu à partir des grains du caféier arabica. »
-Café décaféiné : « Café dont on a extrait une grande partie de la caféine lorsqu'il était encore vert. »
-Café moka ou mochaccino : « Boisson préparée à partir d'un mélange d'expresso, de poudre de chocolat, ou de cacao, et de lait chaud mousseux. »
« Êtes-vous amoureux des livres ? »
Pour deuxième exemple, le terme « livre » se catégorise dans les termes communs et plus larges et se définit comme étant un « Assemblage de feuilles imprimées qui a été relié et muni d'une couverture, et qui constitue le support d'une œuvre » tandis que les exemples ci-dessous représentent les spécialisés.
-Livre à gros tirage : « Livre qui s'est vendu en de très nombreux exemplaires. »
-Livre cartonné : « Livre qui possède une reliure. »
-Livre de fonds : «Livre disponible en librairie qui n'est ni une nouveauté, ni un succès de librairie »
« Des mots fondants, croquants, collants... »
Ce domaine-ci est connu de tous mais jusqu’à quel niveau ? Les sucreries et les bonbons (« Petite sucrerie, souvent aromatisée et colorée, qui peut revêtir différentes formes et qui a généralement une consistance dure et ferme. ») font partie de notre quotidien depuis que nous sommes jeunes et très peu de gens sont conscients du nombre de bonbons existants mais encore moins de leur nom. Qu’ils soient ronds, mous, durs, colorés ou en formes quelconques croyez le ou non, ils ont tous leur nom respectif, qui est bien souvent poétique et descriptif et qui fait partie des langues spécialisées puisqu’il précise le bonbon désigné. En voici une infime partie :
-Bonbon gélifié : « Bonbon à base de gélatine ou de pectine, à texture molle, collante, élastique, aux couleurs et aux formes variées. »
-Bonbon haricot : « Bonbon en forme de haricot fait d'une préparation gélatineuse recouverte d'une coquille de sucre souple, aux couleurs et aux saveurs variées. »
-Dragée : « Confiserie composée traditionnellement d'une amande enrobée de sucre fin durci et poli, blanc ou coloré. »
-Jujube : « Confiserie de forme conique ou hémisphérique faite de gomme arabique et de glucose ou de sirop de maïs et de gélatine, souvent roulée dans un sucre cristallisé. »
-Frappé aux fraises : « Bonbon à base de gélatine très tendre, en forme de bouteille de verre de couleur rose pâle et blanc, au goût voilé de fraise et de crème. » -Description selon Alexandra Lavoie-Côté !
« Vocabulaire des petits fruits »
Les fruits, qu’ils soient connus ou non sont trop souvent désigner par le mauvais terme ou par le terme de langue commune « petit fruit ». Selon leur couleur, leur forme ou leur provenance, ils ont tous un titre dont il serait intéressant de se souvenir.
Voici quelques exemples :
-Bleuet : « Baie comestible bleu-noir d'Amérique du Nord, qu'on trouve dans une grande variété d'habitats secs et humides, dont la chair contient plusieurs graines dispersées. «
-Canneberge : « Baie rouge comestible au goût acidulé, portée par un arbuste nain à tiges rampantes (du genre Vaccinium) qui pousse au nord de l'Amérique, de l'Europe et de l'Asie. »
-Cassis : « Groseille à grappes noire à l'arrière-goût aigrelet, ressemblant au bleuet, originaire d'Europe du Nord. »
-Chicouté : « Petit fruit acidulé de couleur orangée, ressemblant à une framboise, qui pousse dans les tourbières des régions subarctiques. »
-Griotte : « Type de cerise acide de couleur sombre, au jus coloré. »
#4
Pour un seul et même mot, deux ouvrages différents donnent deux définitions assez distinctes l’une de l’autre. Les définitions du mot « ordinateur » résument la même réalité cependant celle-ci est présentée de manière plus concrète en tant que terme dans le Grand Dictionnaire Terminologique. Dans cet ouvrage, l’entrée est présentée selon son aspect physique, sa fonctionnalité, les données qu’elle traite et de quelle façon. Le Petit Robert, pour sa part, présente une définition plus grossière de l’ordinateur. Il est mentionné qu’il s’agit d’une machine électronique et tout de suite après il y a une énumération de tous les accessoires qui peuvent être liés à un ordinateur.
Ces observations peuvent mener à la conclusion que les définitions des termes dans le GDT s’adressent plus particulièrement à un public qui cherche à s’instruire plutôt qu’à avoir une simple image reliée à un mot. Le Petit Robert, par contre, offre dans sa définition des précisions par rapport à l’étymologie qui ne sont pas présentes dans celle du GDT. Alors, ces deux ouvrages présentent des définitions aussi précises l’une que l’autre, néanmoins il est important de préciser qu’ils ne s’attardent pas nécessairement sur les mêmes volets des mots qu’ils élaborent. L’un se penche sur le côté de la réalité de l’objet tandis que l’autre va en profondeur sur l’origine du mot, la raison de sa construction descendant du latin etc.
#5
Quelques termes du domaine
-Ordinateur à carte unique : « Ordinateur qui ne comporte qu'une seule carte mère sur laquelle on retrouve tous les composants nécessaires au traitement des données. » -GDT
-Ordinateur à châssis : « Ordinateur assemblé dans son seul châssis métallique et destiné à être fixé sur un bâti électronique » -GDT
-Ordinateur à ADN : « Ordinateur qui, à l'échelle nanométrique, traite ou stocke des données en utilisant des séquences d'ADN ou d'ARN extraites de cellules vivantes. » -GDT
→Différences et similitudes entre les définitions du #4
[GDT] [Petit Robert]
Les fruits, qu’ils soient connus ou non sont trop souvent désigner par le mauvais terme ou par le terme de langue commune « petit fruit ». Selon leur couleur, leur forme ou leur provenance, ils ont tous un titre dont il serait intéressant de se souvenir.
Voici quelques exemples :
-Bleuet : « Baie comestible bleu-noir d'Amérique du Nord, qu'on trouve dans une grande variété d'habitats secs et humides, dont la chair contient plusieurs graines dispersées. «
-Canneberge : « Baie rouge comestible au goût acidulé, portée par un arbuste nain à tiges rampantes (du genre Vaccinium) qui pousse au nord de l'Amérique, de l'Europe et de l'Asie. »
-Cassis : « Groseille à grappes noire à l'arrière-goût aigrelet, ressemblant au bleuet, originaire d'Europe du Nord. »
-Chicouté : « Petit fruit acidulé de couleur orangée, ressemblant à une framboise, qui pousse dans les tourbières des régions subarctiques. »
-Griotte : « Type de cerise acide de couleur sombre, au jus coloré. »
#4
Pour un seul et même mot, deux ouvrages différents donnent deux définitions assez distinctes l’une de l’autre. Les définitions du mot « ordinateur » résument la même réalité cependant celle-ci est présentée de manière plus concrète en tant que terme dans le Grand Dictionnaire Terminologique. Dans cet ouvrage, l’entrée est présentée selon son aspect physique, sa fonctionnalité, les données qu’elle traite et de quelle façon. Le Petit Robert, pour sa part, présente une définition plus grossière de l’ordinateur. Il est mentionné qu’il s’agit d’une machine électronique et tout de suite après il y a une énumération de tous les accessoires qui peuvent être liés à un ordinateur.
Ces observations peuvent mener à la conclusion que les définitions des termes dans le GDT s’adressent plus particulièrement à un public qui cherche à s’instruire plutôt qu’à avoir une simple image reliée à un mot. Le Petit Robert, par contre, offre dans sa définition des précisions par rapport à l’étymologie qui ne sont pas présentes dans celle du GDT. Alors, ces deux ouvrages présentent des définitions aussi précises l’une que l’autre, néanmoins il est important de préciser qu’ils ne s’attardent pas nécessairement sur les mêmes volets des mots qu’ils élaborent. L’un se penche sur le côté de la réalité de l’objet tandis que l’autre va en profondeur sur l’origine du mot, la raison de sa construction descendant du latin etc.
#5
Quelques termes du domaine
-Ordinateur à carte unique : « Ordinateur qui ne comporte qu'une seule carte mère sur laquelle on retrouve tous les composants nécessaires au traitement des données. » -GDT
-Ordinateur à châssis : « Ordinateur assemblé dans son seul châssis métallique et destiné à être fixé sur un bâti électronique » -GDT
-Ordinateur à ADN : « Ordinateur qui, à l'échelle nanométrique, traite ou stocke des données en utilisant des séquences d'ADN ou d'ARN extraites de cellules vivantes. » -GDT
→Différences et similitudes entre les définitions du #4
[GDT] [Petit Robert]
Catégories : | Terme | Mot |
Domaine technique : | Informatique (matériel informatique) | Absent |
Plan de l’article : | Aéré, espacé | Condensé |
Publication : | Phrases complètes | Mots clefs, liens |
Source : | Grand Dictionnaire Terminologique | Le Petit Robert |
Prononciation | [ᴐRdinatœR] (similaire) | [ᴐRdinatœR] (similaire)/elle n’apparait pas dans la nomenclature. |
Code grammatical : | Nom masculin (similaire) | Nom Masculin (similaire)/il n’apparait pas dans la nomenclature. |
Dubuc
La science du langage est un domaine très large englobant plusieurs concepts et disciplines. Parmis l'éventail de tous ces aspects, il y a entre autre la linguistique, qui elle à son tour amène à un autre domaine très important: la terminologie. Le repérage, l'analyse, la création néologique ainsi que la normalisation sont les méthodes qui caractérisent cette discipline. La terminologie se penche plus précisément sur les langues de spécialités et son but premier est de combler les besoins des usagers d'une langue en trouvant et en spécifiant des expressions. La personne s'adonnant à la terminologie, le terminologue use de plusieurs moyens afin de parvenir à combler les manques d'une langue donnée. Par exemple, il peut employer des fiches terminologiques, des vocabulaires, des lexiques et même des banques de données.
mardi 1 février 2011
Mon bonbon préféré
Mon bonbon préféré est le frappé aux fraises, vous pouvez vous procurer cette friandise assez facilement, que ce soit au club vidéo de votre quartier ou encore à la nouvelle bonbonière du centre commercial qui se nomme "La main dans le sac".
Voici ma définition pour ce plaisir gustatif
Le frappé aux fraises : « Bonbon à base de gélatine très tendre, en forme de bouteille de verre de couleur rose pâle et blanc, au goût voilé de fraise et de crème. » -Description selon Alexandra Lavoie-Côté !
-Bonne dégustation !
Voici ma définition pour ce plaisir gustatif
Le frappé aux fraises : « Bonbon à base de gélatine très tendre, en forme de bouteille de verre de couleur rose pâle et blanc, au goût voilé de fraise et de crème. » -Description selon Alexandra Lavoie-Côté !
-Bonne dégustation !
Publication du TP3
→TP3 Retravaillé
Voici la liste des termes les plus intéressants de ce domaine :
Aromachologie : « Utilise toutes odeurs ou parfums comme soin psychologique. C’est un transfert énergétique qui euphorise l’esprit. Hygiène mentale et physique. »
-Définition de Michel Sommerard, aromathérapeute français renommé depuis 20 ans.
Du document Dans Un Jardin, Bible de soin confidentielle, section EasyScent.
Aromathérapie : « L’aromathérapie (étym : latin « aroma », grec qui signifie arôme, aromate; grec therapeia » pour soin, cure. Ce procédé consiste donc à l'utilisation médicale des extraits aromatiques de plantes (essences et huiles essentielles). »
-Google.ca
Captodeur : « destructeur d'odeurs (mauvaises). »
Combustion catalytique : « La combustion catalytique est une réaction chimique, qui diffère de la combustion dite classique caractérisée par la présence d’une flamme. La différence principale est l’utilisation d’un catalyseur à la place des hautes températures pour maintenir le processus de combustion. Procédé utilisé, entre autre, pour les diffuseurs d’intérieur. » -Google.
Distillation : « Procédé de séparation de mélange de substances liquides dont les températures d'ébullition sont différentes. Elle permet de séparer les constituants d'un mélange homogène. Sous l'effet de la chaleur, les substances se vaporisent successivement, et la vapeur obtenue est condensée pour donner le distillat. »
-Google.ca
Eau de cologne : « Le nom eau de Cologne désigne plus généralement une catégorie de parfums contenant 4 à 6 % d'essences. »-Du document Laboratoire de parfum, Janvier 1983.
Eau de parfum : « Les eaux de parfum, beaucoup plus chères, atteignent un taux de concentration de 18 % »
(Le taux d’alcool dans celles-ci explique pourquoi elles sont souvent dispendieuses).-Du document Laboratoire de parfum, Janvier 1983.
Eau de toilette : « Solution alcoolique se composant d’environ 12 % de concentré dissous dans de l'alcool à 90 %, tenant de 3 à 5 heures selon la texture de la peau. »-Du document Laboratoire de parfum, Janvier 1983.
Enfleurage : « Procédé utilisé pour extraire les effluves des fleurs fragiles qui ne tolèrent pas la distillation ni la surdose de chaleur. » -Du document Laboratoire de parfum, Janvier 1983.
Hippo-sérum : « Obtenu du sang de cheval. Cette substance permet l’innocuité des produits et il est antiseptique. » -Du document Dans Un Jardin, Bible de soin confidentielle.
Note de cœur: « Représente les molécules à volatilité moyenne, elles ont une durée de vie de 2 à 10h, et ont un rôle tampon : prolonger la fraîcheur des notes de tête, annoncer la chaleur des notes de fond.
Ex : les notes florales, épicées. »
Note de fond : « Les molécules les plus lourdes constituent les notes de fond, et ont une durée de vie beaucoup plus longue, de 8h à plusieurs jours. Ce sont souvent elles qui donnent de la personnalité au parfum.
Exemple : notes vanillées, boisées, musquées, ambrées. »
Note de tête : « Les notes de tête sont constituées de matières premières les plus légères, les plus volatiles, qui vont ressortir dés le départ de l’application, et disparaissent le plus vite, entre quelques minutes et 2 heures. »
Ex : les agrumes, les notes aromatiques menthées, eucalyptus.
Parfumerie d’ambiance : « Il s'agit des présentations adaptées d'un parfum : parfumerie d'ambiance (parfum à brûler, bougies parfumées...). »
Parfum : « Extrait fabriqué à partir de la composition la plus riche, la plus concentrée de 18 à 30 % mise en solution dans un alcool à 96°, tenant de 4 à 6 heures sur la peau. »(On trouve des parfums plus chers qui portent en général le nom de parfumeurs ou de couturiers renommés et d'autres marques plus populaires produites par des fabricants qui offrent une plus large gamme de produits de beauté.)
Parfumeur : « Personne qui crée, fabrique des parfums. »
Parfumeuse : « Contenant esthétique servant à conserver et à vaporiser un parfum en nuage fluide à l’aide d’une pompe volumineuse. » Photo de : Google.ca
Parfumerie : « Ensemble des parfumeurs. »
Phyto-aromathérapie : Il s’agit de « la totalité des parties d’une plante et non d’une fraction. » -Du document Dans Un Jardin, Bible de soin confidentielle.
Pipette : « une pipette est un outil qui sert à prélever une solution. Elle est en forme de tube plus ou moins fin (pipettes graduées) parfois élargi en son milieu (pipettes jaugées). Elle peut être en plastique ou en verre. La pipette fonctionne sur le même principe que les pailles : on aspire dans le tube pour aspirer un liquide. »
Mouillette : Il s’agit d’un petit bout de carton dont les dimensions peuvent varier, sur lequel des fragrances sont vaporisées (une odeur par mouillette) pour faire sentir aux clients.
Quintessence : « nom donné à une forme hypothétique d'énergie sombre, proposée comme explication aux observations de l'accélération de l'expansion de l'univers. La quintessence est un champ scalaire qui a une équation d'état en reliant sa pression et sa densité d'énergie de type barotropique, c'est-à-dire de la forme, où la quantité évolue lentement au cours du temps sur de longues périodes. » -Définition de Wikipedia.
Rhodiola Rosea : Une plante dont les effets font ressortir la bonne humeur et les hormones de jouissance.
Voici la liste des termes les plus intéressants de ce domaine :
Aromachologie : « Utilise toutes odeurs ou parfums comme soin psychologique. C’est un transfert énergétique qui euphorise l’esprit. Hygiène mentale et physique. »
-Définition de Michel Sommerard, aromathérapeute français renommé depuis 20 ans.
Du document Dans Un Jardin, Bible de soin confidentielle, section EasyScent.
Aromathérapie : « L’aromathérapie (étym : latin « aroma », grec qui signifie arôme, aromate; grec therapeia » pour soin, cure. Ce procédé consiste donc à l'utilisation médicale des extraits aromatiques de plantes (essences et huiles essentielles). »
-Google.ca
Captodeur : « destructeur d'odeurs (mauvaises). »
Combustion catalytique : « La combustion catalytique est une réaction chimique, qui diffère de la combustion dite classique caractérisée par la présence d’une flamme. La différence principale est l’utilisation d’un catalyseur à la place des hautes températures pour maintenir le processus de combustion. Procédé utilisé, entre autre, pour les diffuseurs d’intérieur. » -Google.
Distillation : « Procédé de séparation de mélange de substances liquides dont les températures d'ébullition sont différentes. Elle permet de séparer les constituants d'un mélange homogène. Sous l'effet de la chaleur, les substances se vaporisent successivement, et la vapeur obtenue est condensée pour donner le distillat. »
-Google.ca
Eau de cologne : « Le nom eau de Cologne désigne plus généralement une catégorie de parfums contenant 4 à 6 % d'essences. »-Du document Laboratoire de parfum, Janvier 1983.
Eau de parfum : « Les eaux de parfum, beaucoup plus chères, atteignent un taux de concentration de 18 % »
(Le taux d’alcool dans celles-ci explique pourquoi elles sont souvent dispendieuses).-Du document Laboratoire de parfum, Janvier 1983.
Eau de toilette : « Solution alcoolique se composant d’environ 12 % de concentré dissous dans de l'alcool à 90 %, tenant de 3 à 5 heures selon la texture de la peau. »-Du document Laboratoire de parfum, Janvier 1983.
Enfleurage : « Procédé utilisé pour extraire les effluves des fleurs fragiles qui ne tolèrent pas la distillation ni la surdose de chaleur. » -Du document Laboratoire de parfum, Janvier 1983.
Hippo-sérum : « Obtenu du sang de cheval. Cette substance permet l’innocuité des produits et il est antiseptique. » -Du document Dans Un Jardin, Bible de soin confidentielle.
Note de cœur: « Représente les molécules à volatilité moyenne, elles ont une durée de vie de 2 à 10h, et ont un rôle tampon : prolonger la fraîcheur des notes de tête, annoncer la chaleur des notes de fond.
Ex : les notes florales, épicées. »
Note de fond : « Les molécules les plus lourdes constituent les notes de fond, et ont une durée de vie beaucoup plus longue, de 8h à plusieurs jours. Ce sont souvent elles qui donnent de la personnalité au parfum.
Exemple : notes vanillées, boisées, musquées, ambrées. »
Note de tête : « Les notes de tête sont constituées de matières premières les plus légères, les plus volatiles, qui vont ressortir dés le départ de l’application, et disparaissent le plus vite, entre quelques minutes et 2 heures. »
Ex : les agrumes, les notes aromatiques menthées, eucalyptus.
Parfumerie d’ambiance : « Il s'agit des présentations adaptées d'un parfum : parfumerie d'ambiance (parfum à brûler, bougies parfumées...). »
Parfum : « Extrait fabriqué à partir de la composition la plus riche, la plus concentrée de 18 à 30 % mise en solution dans un alcool à 96°, tenant de 4 à 6 heures sur la peau. »(On trouve des parfums plus chers qui portent en général le nom de parfumeurs ou de couturiers renommés et d'autres marques plus populaires produites par des fabricants qui offrent une plus large gamme de produits de beauté.)
Parfumeur : « Personne qui crée, fabrique des parfums. »
Parfumeuse : « Contenant esthétique servant à conserver et à vaporiser un parfum en nuage fluide à l’aide d’une pompe volumineuse. »
Parfumerie : « Ensemble des parfumeurs. »
Phyto-aromathérapie : Il s’agit de « la totalité des parties d’une plante et non d’une fraction. » -Du document Dans Un Jardin, Bible de soin confidentielle.
Pipette : « une pipette est un outil qui sert à prélever une solution. Elle est en forme de tube plus ou moins fin (pipettes graduées) parfois élargi en son milieu (pipettes jaugées). Elle peut être en plastique ou en verre. La pipette fonctionne sur le même principe que les pailles : on aspire dans le tube pour aspirer un liquide. »
Mouillette : Il s’agit d’un petit bout de carton dont les dimensions peuvent varier, sur lequel des fragrances sont vaporisées (une odeur par mouillette) pour faire sentir aux clients.
Quintessence : « nom donné à une forme hypothétique d'énergie sombre, proposée comme explication aux observations de l'accélération de l'expansion de l'univers. La quintessence est un champ scalaire qui a une équation d'état en reliant sa pression et sa densité d'énergie de type barotropique, c'est-à-dire de la forme, où la quantité évolue lentement au cours du temps sur de longues périodes. » -Définition de Wikipedia.
Rhodiola Rosea : Une plante dont les effets font ressortir la bonne humeur et les hormones de jouissance.
Inscription à :
Articles (Atom)